Un instant von abgemeldet (Verschmäht in jeder Hinsicht) ================================================================================ Kapitel 1: ----------- Es gilt in etwa das gleiche Vorwort wie zu « Bouteille à la mer »...diese Hausaufgabe, denn als solche galt sie bisher, habe ich für meine Exfreundin geschrieben, während sie sich bei strahlendem Sonnenschein auf dem Campusfest vergnügte... ! Was noch besser kommt, die Geschichte war so gut, dass ihre Dozentin schnell bemerkte, dass ein bzw. eine andere dahinter stecken musste... und so musste ich eine neue schreiben. Hier aber die alte, bessere Fassung. Haach, diese dumme Tuzzi hatte das gar net verdient... Le temps s´ecoulait lentement ce matin. "S´ecouler" n´est peut-étre pas le procédé metaphorique le plus réussi, "le temps tombait goutte à goutte" irait bien mieux, car Joël aspirait chaque minute, chaque seconde qui passait, comme un homme crevant de soif dans le desert. Le temps, qu'il priait de se dépêcher, était pour Joël une source d'un sense ambïgue. D'un côté, il voulait le voir couler comme un fleuve, s´ecouler, il voulait sentir les dixiemes d'une seconde effleurer son âme, d´un autre coté, ce temps était aussi une source de peine: Il ne semblait pas être attirer par le mal de Joël, ne cherchait pas à le consoler en passant plus vite. Il n'était jamais temps. Joël avait l'impression d'avoir attendu pendant un ocean de secondes. Il se sentit partagé entre l'envie de partir, de se libérer de cette marée de temps qui commenca de le noyer et entre la voix percante du couteau qu'il tournait dans ses mains. Ce soir du 23 ième juin 2005, cette lame qu´il avait affuté en la caressant avec ses pensées pleines de langueur, cette lame qui dessinait si joliment des lignes d'un rouge éclatant sur la langue assoifée devrait le quitter pour toujours, mais elle sera en bonnes mains-ou plutôt- en bons reins. Car c´était dans le reins de sa petite sœur que Joel voulait déposer son couteau cheri. Enfin, vers 10h, quand la place devant l'ancienne opéra commencait à se vider, Joel pris vue de la silhouette éthère qui flottait entre les passants sans visage, elle était enveloppée d'une aura pleine de chaleur, et son sourire jettait une éttincelle qui flamboyait la lame pleine d´éspoir. Joel s`eleva. La silhouette était couverte par un ombre soudain, il avait difficulté à l`appercevoir. Mais un instant après, elle s´élevait devant lui, ses mains de verre tenait une rose épinée. Elle ouvrit sa bouche, Joel fit comme glace. "Merci de vouloir m´accompagner à la maison, mon frère bien-aimé" Joel se tut. Tout effort de se lever firent en vain. Le couteau ne tenait plus en place. "Allons- y, mon frère. Il va pleuvoir" Elle se retourna et lui sourit encore une fois. Il était emut. "Oui, allons-y." Le couteau tombait de ses mains. "Tiens, as- tu perdu quelques chose?" demanda sa soeur surprise. "Non, non...Allons à la maison." Il se levai et lui fit un sourire. "Je t`aime, mon frère." Joel ne la regardait plus dans les yeux. "Moi aussi, ma petite soeur. Moi aussi." Hosted by Animexx e.V. (http://www.animexx.de)